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Il n'y a pas longtemps, j'ai eu le privilège de prêcher dans une église qui célébrait le mois des femmes par une journée spéciale à leur égard.

Mon amour de la poésie remonte à très loin. Comme pour beaucoup de personnes, il a commencé très tôt pendant mon adolescence quand, passionnée par la lecture, j’ai découvert des textes poétiques en vers et en prose des écrivains francophones dont la beauté illuminait mes journées sombres.

Contrairement à beaucoup de gens, cet amour n’a pas diminué même après la période “folle” de jeunesse 🙂 Jusqu’à présent, je m’y accroche. En fait, mes premières publications étaient des recueils de poésie. Je n’oublierai jamais mon euphorie quand mon premier recueil a été téléchargé plus de 10 000 fois sur une plateforme électronique.

Articles récemment publiés

De la poésie, encore de la poésie pour ma croissance spirituelle

C’est la poésie qui m’a ouvert à la voie à l’écriture dévotionnelle. C’est la poésie qui m’a aidé à développé une relation dynamique avec la Bible. C’est la poésie qui a développé chez moi une imagination fertile et m’a fait découvert mes talents. C’est la poésie qui a alimenté mon quotidien ennuyeux d’adolescente maladive. C’est la poésie qui m’a fait comprendre l’importance extraordinaire des mots.

À travers les années, j’ai publié plusieurs articles sur la poésie :

Je comprends pourquoi dans la Bible la poésie occupe une place si importante. En effet, on y trouve 6 livres classés parmi les livres poétiques :

Tu peux ne pas souvent voir cette poésie dans les pages sacrées puisque la poésie juive a des caractéristiques différentes de la poésie française, il n’en demeure pas moins que Dieu donne des talents à ses enfants dans ce genre littéraire pour faire passer ses grandes déclarations d’amour, de fidélité et ses promesses de restauration. Pense un peu à ces versets:

Je vous en conjure, filles de Jérusalem, par les gazelles, par les biches des champs, n’éveillez pas, ne réveillez pas l’Amour, avant qu’il le veuille. La voix de mon bien-aimé ! C’est lui, il vient… Il bondit sur les montagnes, il court sur les collines, mon bien-aimé, pareil à la gazelle, au faon de la biche. Le voici, c’est lui qui se tient derrière notre mur : il regarde aux fenêtres, guette par le treillage. Il parle, mon bien-aimé, il me dit : Lève-toi, mon amie, ma toute belle, et viens…Cantique des cantiques 2: 7-10

Ne le sais-tu pas? ne l’as-tu pas appris? C’est le Dieu d’éternité, l’Éternel, Qui a créé les extrémités de la terre; Il ne se fatigue point, il ne se lasse point; On ne peut sonder son intelligence. Il donne de la force à celui qui est fatigué, Et il augmente la vigueur de celui qui tombe en défaillance. Les adolescents se fatiguent et se lassent, Et les jeunes hommes chancellent; Mais ceux qui se confient en l’Éternel renouvellent leur force. Ils prennent le vol comme les aigles; Ils courent, et ne se lassent point, Ils marchent, et ne se fatiguent point. Ésaïe 40:28 – 31

 Ne pensez plus aux événements passés, et ne considérez plus ce qui est ancien. Voici, je vais faire une chose nouvelle, sur le point d’arriver: Ne la connaîtrez-vous pas? Je mettrai un chemin dans le désert, Et des fleuves dans la solitude. Les bêtes des champs me glorifieront, Les chacals et les autruches, Parce que j’aurai mis des eaux dans le désert, Des fleuves dans la solitude, Pour abreuver mon peuple, mon élu. Ésaïe 43:18-20

Télécharge ces recueils de poésie pour continuer ton aventure dans le monde poétique
Il n'y a pas longtemps, j'ai eu le privilège de prêcher dans une église qui célébrait le mois des femmes par une journée spéciale à leur égard.

Si les vers que nous connaissons dans la poésie française ne sont pas visibles dans ces extraits, nous ne pouvons nous empêcher de nous laisser bercer par les tournures de phrases poétiques et de nous imprégner de l’amour de Dieu: mettre un chemin dans le désert, des fleuves dans la solitude

J’ai appris à mémoriser des dizaines de pages et à les réciter pour partager une autre vision de la réalité. Même si maintenant la plupart de mes écrits ne sont plus à caractère poétique, mais un mot bien dit, une tournure de phrase poétique attirent encore mon regard et me reconnectent avec cette sensibilité profonde et salvatrice qui peut être enfouie au gré de la routine quotidienne.

Une séance d’adoration surprenante et poétique

Il n’y a pas longtemps, j’ai eu le privilège de prêcher dans une église qui célébrait le mois des femmes par une journée spéciale à leur égard. Les hommes ont partagé des textes qui mettaient en valeur leur appréciation pour les femmes de leur église, de leur communauté. Bien sûr, les textes ont parlé tout droit à mon cœur et j’ai demandé la permission à l’un d’entre eux, Franck Cobby, de partager son texte. J’espère que tu l’apprécieras. N’hésite pas de commenter pour partager ton avis.

Quand on dit femme

Par Franck COBBY

Quand on dit FEMME, j’entends FLEUR

Et tout mon univers est embaumé de son parfum

Quand on dit FEMME, je pense FLAMME

Et tout mon être fond comme de la neige à l’approche de sa chaleur

Quand on dit FEMME, j’entends FINESSE

Et toute ma rudesse se dévoile devant sa cambrure d’être fini

Quand on dit FEMME, j’entends FASCINATION

Et toute la nature est subordonnée à la splendeur de sa beauté

Quand on dit FEMME, j’entends FERVEUR

ET toute mon énergie s’évapore comme de la poussière devant son courage

Quand on dit FEMME, je vois FAMILLE

Et de tout mon être, je bénis le ciel 

Pour celle devenue “chair de ma chair”

Et celles sublimement nées “fruits de mes entrailles”.

Bon mois de célébration à toutes mes soeurs,

Jacqueline

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