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Je continue la nouvelle série sur l’écriture comme moyen pour partager. Si tu n’as pas encore lu le premier article, je t’invite à le faire en cliquant ici.

Partager sa foi est une obligation pour chaque chrétien comme on le sait. Si cet impératif connu sous le terme « La grande commission » est clair, toutefois, les méthodes de le faire diffèrent suivent les dons spirituels accordés par le Saint-Esprit aux croyants. En effet, partager l’amour de Dieu exige l’utilisation de ce tout ce que nous avons et nous engage tout entier suivant nos activités à des actions spécifiques, les unes plus créatives que les autres. L’écriture faite partie de ces moyens. Mais qui peut utiliser ses écrits pour partager sa foi ? Pour répondre à cette question, essayons de démystifier 5 croyances sur l’écriture.  

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Écrire pour partager sa foi : 4 mythes sur l’écriture à remettre en cause

Mythe 1 : Pour certaines personnes, il est facile d’écrire. 

Beaucoup de gens croient sincèrement que l’écriture est un acte facile pour certains, mais extrêmement difficile pour d’autres. Permets-moi de te dire qu’il s’agit là du plus grand mythe qui soit. Je suis blogueuse, j’ai écrit des centaines d’articles, des dizaines de journaux et de livres électriques. Je connais aussi d’autres blogueurs, écrivains ou tout simplement des gens dont le travail est d’écrire des discours ou autres pièces d’écriture. Il n’y aucun moi y compris qui vous dira qu’écrire est facile. 

L’écriture est un travail brutal et difficile. Il y a des moments où chaque auteur, écrivain amateur, blogueur pense jeter l’éponge. Ils ne l’ont pas fait, pourquoi ? Ce n’est pas parce c’est facile, mais tout simplement le désir d’écrire est plus fort. Par ailleurs, l’expérience et la pratique peuvent faciliter de nombreuses tâches d’écriture. On le dit, et c’est vrai pour l’écriture : c’est en forgeant que l’on devient forgeron. Il y a des tâches d’écriture que je peux presque accomplir en pilote automatique tout simplement parce que j’ai beaucoup écrit sur ce format et/ou ce sujet spécifique.

Mythe 2 : L’écriture requiert un talent exceptionnel. 

Je ne vais pas te mentir. Puisque je crois aux dons, je dois admettre que certaines personnes sont douées pour l’écriture. Leur talent les sépare des autres, ce qui fait qu’elles deviennent de grands écrivains. Mais la vérité est que le talent ne suffit pas à faire d’un écrivain un grand ou même un bon écrivain et que le talent n’est pas une condition nécessaire pour être un bon écrivain. L’écriture est une compétence qui s’apprend, se développe et s’affine. Encore une fois : c’est en forgeant que l’on devient forgeron. 

Si as le désir de partager ta foi par l’écriture, si tu te formes, tu lis les écrits des autres pour en apprendre davantage sur l’écriture, et si tu cherches et acceptes des conseils et des suggestions concernant ton style d’écriture, alors tu t’amélioreras et tu te développeras en tant qu’écrivain. Le dévouement associé au talent peut donner des résultats étonnants, mais si je devais n’en choisir qu’un seul, je choisirais le dévouement, la discipline. Tu peux toujours améliorer ton niveau de compétence grâce à ton engagement.

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Mythe 3 : L’écriture est un moyen trop select pour partager sa foi. 

En écrivant cet article, il m’est monté en tête un livre dont j’ai oublié le nom et l’auteur que j’ai lu quand j’étais adolescente. Si je n’arrive pas à tout me rappeler de ce livre, je sais que j’ai développé l’état d’esprit que ma vie devait être un grand « oui » à Dieu quelle que soit la situation grâce à cette auteure. 

C’était une simple biographie qui abordait le sujet de son célibat et du fait qu’elle ne prendrait jamais la décision de se marier si ce n’était la volonté de Dieu. Elle était prête à affronter la solitude pour simplement dire « Oui » à Dieu. Ce livre m’a littéralement hantée toute mon adolescence et je sais que c’est ce qui a renforcé ma décision d’être d’accord avec Dieu en ce qui a trait aux décisions difficiles de ma vie. Donc, l’écriture est un moyen trop sélect pour partager sa foi ? Je ne le crois pas. 

 En réalité, Ii existe beaucoup de moyens de partager sa foi qui impliquent l’écriture : pense aux sermons, aux études bibliques, à la musique, pour ne citer que cela. La forme peut varier, mais la communication écrite est la pierre angulaire de tout dans notre monde actuel. 

Mythe n° 4 : l’angoisse de la page blanche constitue un blocage important pour partager sa foi

C’est réel ce problème du syndrome de la page blanche. On est intimidé par l’idée qu’on n’arrivera jamais à trouver quoi écrire. La page restera blanche. Je me souviens il y a deux lorsque j’ai lancé le groupe de coaching en écriture, c’était le problème inhérent à ce groupe. Toutes les femmes disaient qu’elles ne savaient quoi écrire. Elles étaient intimidées. Elles pensaient que leur livre ne verra jamais le jour. Pourtant, il a été publié 🙂

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Je comprends les difficultés inhérentes à l’écriture et à la lutte contre l’angoisse de la page blanche, mais chaque fois que j’en entends parler je trouve que ces gens ont une vue distordue de l’écriture et de ce grand mot appelé « inspiration ». Pour eux, pour écrire, il faut avoir des conditions idéales, ne pas faire d’erreurs, rédiger un livre extraordinaire d’un seul jet. Surtout, il faut se sentir « disposé » à écrire, avoir l’« humeur appropriée». Toutes ces excuses prouvent tout simplement qu’on ne comprend pas l’écriture ou le processus. Un écrivain écrit n’importe où et n’attend jamais que la muse le frappe pour écrire. Il développe tout simplement l’habitude d’écrire et la majorité de ce qu’il écrit ne sera jamais publié 🙂

Pour conclure, écrire pour partager sa foi est une aventure excitante qui exige de la persévérance, mais surtout de la certitude qu’il y a quelqu’un quelque part dans le monde qui sera réconforté par son témoignage. Dans ce cas, cela vaut la peine de surmonter ses peurs et ses inquiétudes pour faire de l’écriture un moyen efficace de partage de sa foi.  Ne sois pas la victime de ces 4 mythes. 

Pour t’outiller et t’encourager, je t’invite à participer au groupe de coaching qui débute en octobre. Clique ici pour en savoir plus.

À ta croissance spirituelle

Jacqueline

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