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S’il est vrai que la réalité ne correspond pas tout à fait à nos rêves, il est d’autant que plus vrai qu’il existe une autre réalité. Cette dernière surpasse nos rêves les plus fous.

Nous voici parvenus à la fin de cette série spéciale dont l’objectif était tout simplement de te faire écouter des histoires d’amour de la Bible et de voir que ce livre est vraiment une mine d’histoires vraies qui dépassent l’imagination. Toi et moi avons baladé au gré de notre imagination dans l’intimité de ces héros du temps passé. Tu as pu constater une chose : J’aime les Happy Ends, les dénouements heureux.

Je rêve que toutes les histoires ont des dénouements heureux ainsi tout irait bien. Plus de rupture définitive. Plus de divorce. Plus de yeux rougis par des larmes suite à une infidélité conjugale. Guérison totale des maladies incurables. Quel monde fabuleux ce serait !

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Bien sûr, cela ne correspond pas à la réalité. La vie quotidienne est truffée de ces points noirs qui enlaidissent notre quotidien et nous poussent vers le découragement. Ces happy ends des contes de fées lues étant enfants nous narguent. Cyniques, blasés, nous affrontons un monde fait de coups durs où les plus forts survivent. Nous nous disons qu’après tout, ces histoires avec des fins heureuses ne font partie que de l’imaginaire. 

La vie éternelle: une histoire vraie écrite de la main de Dieu

S’il est vrai que la réalité ne correspond pas tout à fait à nos rêves, il est d’autant que plus vrai qu’il existe une autre réalité. Cette dernière surpasse nos rêves les plus fous. C’est ce dont nous, en tant que chrétiens, nous croyons. Nous sommes devenus par ce fait les distributeurs d’une bonne nouvelle : « Que votre cœur ne se trouble pas …Je vais vous préparer une place …Je reviendrai vous prendre avec moi afin que là où je suis vous y soyez aussi ». (Jean 14: 1-3)

Celui que nous attendons, c’est Jésus-Christ. Il apparaîtra bientôt sur les nuées. Il apportera avec lui les rétributions. Pour nous ses enfants, nous ne pouvons même pas imaginer ce que cela sera. Ce qu’il nous a promis dépassera notre imagination, tous nos rêves : « Ce sont des choses que l’œil n’a point vues, que l’oreille n’a point entendues, et qui ne sont montées au cœur de l’homme… » (1 Corinthiens 2. 9)

S’il est vrai que la réalité ne correspond pas tout à fait à nos rêves, il est d’autant que plus vrai qu’il existe une autre réalité. Cette dernière surpasse nos rêves les plus fous.

Une description sommaire du pays, de la demeure me laisse perplexe et réveille en moi cette soif inextinguible de bonheur durable, ce désir de vivre en ce moment cette merveilleuse réalité : Un fleuve d’eau de la vie, limpide comme du cristal …Un arbre de vie produisant douze fois des fruits …et dont les feuilles servaient à la guérison des nations… (Apocalypse 22.1-4).

Le prophète Ésaïe déclare que les loups paîtront avec les agneaux (Esaie 65. 25). Nous vivrons en paix avec ces fauves tant redoutés. De plus, la justice habitera dans ce pays merveilleux. Nous vivrons heureux pour toujours avec Dieu : « Il essuiera toutes larmes de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu ». (Apocalypse 21.4) Ces promesses féeriques ne constituent pas une parenthèse dans cette longue vie qui nous attend. Elles en sont l’atout majeur … 

De l’espoir pour toutes les âmes endolories et endeuillées

Si notre âme est meurtrie et ne peut concevoir notre gloire future, pensons aux paroles d’Ésaïe : « Dites à ceux dont le cœur est troublé : Prenez courage, ne craignez point ; Voici votre Dieu … Il viendra lui-même, et vous sauvera ». (Ésaïe 35. 4

La vie présente peut ne pas nous apporter tout ce que nous souhaiterions mais vivons dans la perspective du retour de Jésus.

Un conte de fée réel

As-tu remarqué les points de suspension qui terminent les contes avec leur traditionnelle phrase : Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants … Les auteurs sont incapables de décrire le bonheur futur des héros. Les mots en sont impuissants. Ils avaient raconté avant leur tragédie, leur effort pour vaincre les forces du mal, là où ils avaient bronché et enfin leur victoire. Arrivés au moment des grands délices, ils ne peuvent laisser que notre imagination fertile faire le reste. L’apôtre Jean n’a pas dérogé à cette règle. Sur les 22 chapitres de l’Apocalypse, deux sont réservés à décrire cet enchantement, cette euphorie sans pareille. Il ne peut terminer qu’en disant : « Amen, viens Seigneur Jésus »… Voici notre Happy-End…

À ta croissance spirituelle,

Jacqueline

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