La liberté à bon marché!

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Jean Jaurès a déclaré:

Le premier des droits de l’homme, c’est la liberté individuelle, la liberté de la propriété, la liberté de la pensée, la liberté du travail.

De son côté, Henri Jeanson affirme:

Nous n’avons qu’une liberté : la liberté de nous battre pour conquérir la liberté.

La liberté est un bien précieux, mais qui veut être libre sait combien d’efforts il faut déployer pour le devenir. L’histoire de l’humanité est remplie d’épisodes tragiques qui dénotent combien la force militaire, intellectuelle ou financière peut, entre les mauvaises mains, contribuer à l’assujettissement des plus faibles.

Mon expérience personnelle

Je viens d’une île qui a été colonisée par diverses puissances étrangères au cours de son histoire. Cependant, l’un des sujets de fierté de mon pays d’origine bien que la misère y soit encore présente, c’est qu’il a été la première république noire à obtenir son indépendance.

Être libre, ce n’est pas une mince affaire!

Dans la société actuelle, heureusement l’esclavage n’est plus toléré. La déclaration  universelle des droits de l’homme et  du citoyen a définitivement banni toute tentative de réduire en esclavage n’importe qui en se basant sur des prétextes de race, de couleur, de puissance. En ce sens, les activistes, ceux qui ont lutté pour rendre le monde plus juste et équitable, sont à remerciés. Ils ont lutté, souvent au détriment de leur vie, pour faire appliquer la justice sociale. Ils ont compris en fait que la liberté n’avait pas de prix!

Un type d’esclavage passé sous silence

Bien que je salue et je respecte profondément le travail de tous ceux qui ont lutté ou qui luttent encore pour l’égalité entre les hommes, il n’en demeure pas moins que l’esclavage existe encore.

Ce n’est pas l’esclavage tel qu’il est décrit dans les livres d’histoire. Ce n’est non plus cette forme d’esclavage que représentent les dettes. Non! C’est de l’esclavage sous une forme subtile. Les riches en sont victimes ainsi que les pauvres. Blancs ou  Noirs, quelle que soit notre race, notre statut social, notre profession, notre niveau intellectuel, nous sommes réduits à l’état d’esclave sans le vouloir ni parfois y penser.

Es-tu vraiment libre?

Tu peux me dire que tu tu te sens indépendant, libre. D’ailleurs, tu peux vivre dans un pays où ce terme même constitue le leitmotiv répété par tous: je suis libre, je fais ce que je veux. Ça semble être vrai, n’est-ce pas?

Cependant, il faut reconnaître que si nous creusons un peu plus la surface, nous découvrirons jusqu’à un certain point, que nous sommes esclaves de nos tendances, de nos traits de caractère, de nos  faiblesses, etc. C’est un esclavage sans chaîne ni barreaux visibles. Mais c’est de l’esclavage quand même.

Liberté et mort: quel est le rapport?

Pourquoi est-ce que je parle de l’esclavage dans le cadre d’une série sur la mort?  J’en parle car précisément cet esclavage a des conséquences beaucoup plus néfastes que celle de la mort physique. Il peut détruire complètement notre présent et ne donner aucun espoir à un avenir probable.

En effet, les addictions de toutes sortes, les mauvais comportements, les pensées négatives, la culpabilité mal placée, l’aigreur, la rendu ne, l’envie, l’égoïsme, etc. sont tous des fardeaux que nous portons et qui sont excrément difficiles à se débarrasser. Souvent, même les traitements psychologiques n’arrivent pas à nous enlever ce sentiment de défaite qui nous assaille quand nous succombons encore une fois aux mauvaises habitudes contre lesquelles nous avons déclarer une guerre sans merci.

Que faire face à cet esclavage de l’esprit et des sens qui nous pousse inexorablement vers une mort définitive?

Et si je te disais qu’il y a de l’espoir? Que quelqu’un plus invincible que tous les activistes les plus consciencieux et acharnés que l’histoire n’a jamais mentionné a payé le prix pour toutes tes erreurs passées, présentes ou futures? Que ce quelqu’un l’a te rend ta liberté? Tu n’as rien à payer. C’est gratuit. L’unique condition? Il faut tu acceptes d’être libre. La liberté à bon marché? La veux-tu?

Pour en prendre connaissance, inscris-toi à cette série GRATUITE de présentations en ligne: Ma mort, n’est pas la fin de mon histoire.

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Mon ami aimerait lire ça aussi!

Mes amis me donnent toutes sortes de surnoms (Liline, Jackie, Jack, Line, etc.). Bloggeuse chrétienne, passionnée d’écriture créative, de lecture, de théologie, et de musique chrétienne. J’écris pour approfondir la foi de tous ceux et de toutes celles qui cherchent à mieux connaître Dieu.